A la carabine et Cheveux d'été apparaissent comme deux très belles pièces, deux œuvres essentielles parce qu'elles questionnent des aspects de notre société avec la force PULSATRICE du théâtre. Elles font ici advenir à la réalité l’expérience communément vécue de la violence dans la quotidienneté et l’intimité de la vie des femmes.
Étiquette : solitaires intempestifs
Portrait d’une sirène de Pauline Peyrade (paru en novembre 2019 aux Solitaires Intempestifs)
En ce mois de novembre 2019, Pauline Peyrade vient de publier sa troisième pièce, un triptyque intitulé Portrait d'une sirène avec la mention « conte » sur la première de couverture.
Sœurs (Marina et Audrey) écrit et mis en scène par Pascal Rambert
Le drame apparaît alors peut-être dans cette interrogation, presque absurde mais tellement douloureuse et indépassable : pourquoi ces deux femmes « nées du même vagin » devraient-elles s’entendre malgré tout ? Ou, de la même façon, pourquoi, malgré ce lien charnel ne peuvent-elles pas y parvenir ?
Sainte dans l’incendie, de Laurent Fréchuret
Une âme pure et parfaite, brute, incarnée dans ce corps incroyable qui se meut devant nous. Telle est le personnage que campe l'incroyable Laurence Vieille, dirigée de toute évidence avec une grande finesse par Laurent Fréchuret.
Labio de Liebre écrit et mis en scène par Fabio Rubiano par la compagnie Teatro Petra (Colombie)
Le théâtre de Fabio Rubiano est un théâtre engagé dans la pensée et débordé par les limites étroites de la poésie : il expose une sorte d'ardeur théâtrale féconde pour accoucher de réflexions intenses sur notre condition humaine et provoquer par le rire, nos douleurs encloses...
Argument de Pascal Rambert
aux éditions les Solitaires Intempestifs, décembre 2015. L'histoire se déroule dans les entrelacs d'une lande verte, bande de verdure parmi une plaine éparpillée, ou fragments d'un petit coteau, proche d'une falaise et de la mer, dans un lieu circoncis que serait Javille, lieu de refuge et lieu de fuite, mais aussi de dénégation dans le… Lire la suite Argument de Pascal Rambert