« Ma Jeunesse Exaltée » est encore jouée au Gymnase Aubanel pour la 76ème édition du Festival d'Avignon les 13, 14 et 15 juillet 2022. Le pouvoir d'Arlequin Vivre une expérience théâtrale, comprendre ce qui nous traverse, voir des acteurs, c'est ce que propose cette traversée de Ma Jeunesse Exaltée. Je repense souvent à cette phrase… Lire la suite « Ma Jeunesse Exaltée » d’Olivier Py – 76e Festival d’Avignon
Catégorie : Festival d’Avignon IN
Liebestod d’Angelica Liddell
Elle nous parle, elle titube d'ivresse et de désir, sa voix s'adonne à la mélancolie et à la fureur ; elle parle à tout ce qui en nous est sans cesse retenu, taiseux, médiocre : elle nous apprend l'humilité et la terreur.
La dernière nuit du monde de Laurent Gaudé dans une mise en scène de Fabrice Murgia
La pièce a quelque chose de fragile, mais la douceur du jeu de Nancy Nkusi mêlée à la fureur endolorie de Fabrice Murgia, tout cela rehaussé par l'écriture lumineuse de Laurent Gaudé, lui donne en réalité une force insoupçonnée qui s'étire jusqu'à faire sortir les personnages des espaces où ils sont assignés.
Macbeth Philosophe mené par Olivier Py et Enzo Verdet avec les participants de l’atelier théâtre du Centre pénitentiaire Avignon-Le Pontet
Chronique enregistrée sur l'écho des planches le 18 Juillet, diffusée le 19. Un Macbeth au sommet C'est la troisième année que l'atelier se produit hors des murs de la prison. Après Hamlet, et Antigone, Olivier Py adapte et traduit des passages de Macbeth pour en donner une version pour huit comédiens intitulé Macbeth philosophe. Une… Lire la suite Macbeth Philosophe mené par Olivier Py et Enzo Verdet avec les participants de l’atelier théâtre du Centre pénitentiaire Avignon-Le Pontet
£¥€$ par le Ontroerend Goed
Le processus est efficace pour faire mesurer la légèreté, la frivolité, et le grand degré de cynisme nécessaires pour participer à ce gigantesque jeu de dupes fictif, l’économie mondialisée.
L’amour vainqueur d’Olivier Py
Il s'agit d'une forme d'opérette, aux traits parfois burlesques mais qui comme toujours chez l'auteur revêt une grande dimension métaphysique et est ponctuée de bouffées lyriques. La trame en est simple et l’exécution prodigieuse : les interprètes sont de formidables acteurs