77e Festival d'Avignon, Critique de spectacle, Festival d'Avignon IN

Imaginer avec ses oreilles

Truth's a Dog Must to Kennel de Tim Crouch se joue du 14 au 23 juillet à la Chapelle des Pénitents blancs. Pour cette 77e édition du festival, Tiago Rodrigues a décidé de célébrer la langue anglaise avec un certain nombre de spectacles venus d’Outre-Manche. Parmi eux, « À la niche chienne de vérité » ou,… Lire la suite Imaginer avec ses oreilles

77e Festival d'Avignon, Critique de spectacle, Festival d'Avignon IN

D’autres lieux, d’autres temps

Retour sur Le Jardin des Délices de Philippe Quesne joué à la carrière de Boulbon du 6 au 18 juillet et Paysages partagés par Caroline Barneaud et Stefan Kaegi qui se jouait à Pujaut du 7 au 16 juillet. Un jardin où se délecter encore Il est toujours impressionnant d’entrer dans un lieu marqué historiquement… Lire la suite D’autres lieux, d’autres temps

77e Festival d'Avignon, Critique de spectacle, Festival d'Avignon IN

Un centre d’aide sociale dans la Cour

Welfare de Julie Deliquet se jouait du 5 au 14 juillet dans la Cour d'honneur du Palais des Papes. États-Unis, début des années 1970, gymnase aménagé en centre d’aide sociale. Mme Turner, M. Rivera, M. Hirsch, Mme Gaskin et d’autres sont venu·e·s ici avec des dossiers remplis de documents administratifs. Ces quinze personnes, devenues en… Lire la suite Un centre d’aide sociale dans la Cour

76e Festival d'Avignon, Critique de spectacle, Festival d'Avignon IN

« Ma Jeunesse Exaltée » d’Olivier Py – 76e Festival d’Avignon

« Ma Jeunesse Exaltée » est encore jouée au Gymnase Aubanel pour la 76ème édition du Festival d'Avignon les 13, 14 et 15 juillet 2022. Le pouvoir d'Arlequin Vivre une expérience théâtrale, comprendre ce qui nous traverse, voir des acteurs, c'est ce que propose cette traversée de Ma Jeunesse Exaltée. Je repense souvent à cette phrase… Lire la suite « Ma Jeunesse Exaltée » d’Olivier Py – 76e Festival d’Avignon

Festival d'Avignon IN

Liebestod d’Angelica Liddell

Elle nous parle, elle titube d'ivresse et de désir, sa voix s'adonne à la mélancolie et à la fureur ; elle parle à tout ce qui en nous est sans cesse retenu, taiseux, médiocre : elle nous apprend l'humilité et la terreur.

Festival d'Avignon IN

La dernière nuit du monde de Laurent Gaudé dans une mise en scène de Fabrice Murgia

La pièce a quelque chose de fragile, mais la douceur du jeu de Nancy Nkusi mêlée à la fureur endolorie de Fabrice Murgia, tout cela rehaussé par l'écriture lumineuse de Laurent Gaudé, lui donne en réalité une force insoupçonnée qui s'étire jusqu'à faire sortir les personnages des espaces où ils sont assignés.