Jean Vilar disait que c'était à partir d’œuvres dramatiques comme la Ville que la révolution littéraire du théâtre devait être faite. Il considérait par ailleurs cette pièce comme un des plus beaux poèmes dramatiques de notre littérature.
Étiquette : Olivier Py
Richard II de William Shakespeare
Dans Richard II, il y a comme un aspect prémonitoire des violences à venir. Ces mises en garde résonnent particulièrement en nos temps troublés où s’oublie le respect de l’homme pour mieux piétiner et étrangler ses droits inaliénables et ses libertés.
Macbeth Philosophe mené par Olivier Py et Enzo Verdet avec les participants de l’atelier théâtre du Centre pénitentiaire Avignon-Le Pontet
Chronique enregistrée sur l'écho des planches le 18 Juillet, diffusée le 19. Un Macbeth au sommet C'est la troisième année que l'atelier se produit hors des murs de la prison. Après Hamlet, et Antigone, Olivier Py adapte et traduit des passages de Macbeth pour en donner une version pour huit comédiens intitulé Macbeth philosophe. Une… Lire la suite Macbeth Philosophe mené par Olivier Py et Enzo Verdet avec les participants de l’atelier théâtre du Centre pénitentiaire Avignon-Le Pontet
L’amour vainqueur d’Olivier Py
Il s'agit d'une forme d'opérette, aux traits parfois burlesques mais qui comme toujours chez l'auteur revêt une grande dimension métaphysique et est ponctuée de bouffées lyriques. La trame en est simple et l’exécution prodigieuse : les interprètes sont de formidables acteurs
Prises de paroles de l’Alchimie du Verbe à l’émission D’Esprits Critiques sur la radio l’Echo des planches
Aussi, pour accompagner l'écriture des articles [trop peu nombreux pendant le Festival], il nous paraît opportun de participer à cette émission D'Esprits Critiques [Animée par Emmanuel Serafini] sur les ondes de la radio à laquelle nous collaborons avec ardeur.
Pur Présent écrit et mis en scène par Olivier Py
C'est aussi dans un symbolisme intact et charnel que s'énonce l'inadéquation au monde de tous les personnages et on reconnaît l'inquiétante pureté de l'écriture de Py ici poussée à son paroxysme sans démesure burlesque. Ce symbolisme en devient si intense qu'il permet aux acteurs de s'envelopper de cette parole poétique et de porter le masque de l'exaltation ou de la folie, du cynisme ou de la grâce ; traversés qu'ils sont par cette lucidité politique que corroie la fable, ils sont eux aussi d'une certaine manière spectateurs impuissants, incapables d'agir face à l'insolente absurdité d'un monde qui les dépasse.