A la carabine et Cheveux d'été apparaissent comme deux très belles pièces, deux œuvres essentielles parce qu'elles questionnent des aspects de notre société avec la force PULSATRICE du théâtre. Elles font ici advenir à la réalité l’expérience communément vécue de la violence dans la quotidienneté et l’intimité de la vie des femmes.