Ce voyage permet donc à la fois de voyager dans un monde enfantin et merveilleux, avec une puissance créatrice sans limite qui ouvre les portes d'une illusion largement poétique ; sans pour autant oublier la portée philosophique et ontologique du texte. La mise en scène traduit ainsi sans les trahir les grands axes de l'oeuvre de Jules Verne, charmant un public de tout âge.
Étiquette : Éric Ruf
Les Fourberies de Scapin de Molière dans une mise en scène de Denis Podalydès
La farce déploie alors toute sa puissance, bercée par un sentiment de malaise. Scapin, le personnage marginal, dévoile à lui seul la puissance du théâtre capable de bouleverser l'ordre social. Une pièce drôle, jouissive, noire, à vocation universelle, dans une mise en scène mémorable...