Ainsi, l'univers scénique s'affiche comme perpétuellement dystopique, présentant des êtres qui deviennent au fil de la pièce des présences obsédantes et inquiétantes, se cachant et irradiant leurs propres ombres. Cette dramaturgie de la non-propension dévie l'incertitude, arrache l'irrévérence artistique et attise une sobriété persistante et fragile...