Grensgeval (Borderline) nous inonde par son flot incessant de noirceur et nous apprend à contempler notre misère, sans aucun pathos, simplement dans la dureté qui devrait être la nôtre face à ce sujet, car il faut apprendre à aimer jusqu'à ces beautés in-apaisantes et intranquilles pour pouvoir les combattre, sans cri et sans colère, la tête froide et amoureuse...