Aussi chacun a quelque chose à se reprocher – car les violences ne viennent pas seulement des encadrants – mais là n'est pas la question : pourquoi politiquement, quand on essaie d'agir, le plus dur est qu'on se heurte à l'inaction, tout comme ces enfants qui parlent dans le vide, qui sont punis pour s'être révoltés ? La pièce ne soulève pas spécifiquement le problème de l'impunité des crimes mais surtout la difficulté d'agir pour opérer un changement. Car qui peut, qui doit, qui réussit à agir ?