Le point fort de cette mise en scène est de ne pas tenter d'actualiser cette pièce éternelle mais de comprendre qu'elle se suffit à elle-même toute seule. Deux éléments seulement, l'affiche et l'utilisation de la musique orientalisante, attirent l'attention du spectateur sur la contemporanéité de la situation, mais le propos reste aussi vif qu'à l'époque.