C'est là que se situe le geste d'exubérance délicate du dramaturge, dans le décalage produit par le théâtre, d'un spectateur, conscient de l'aveuglement tragique de cette famille de la haute-bourgeoisie face à cette même famille qui se déchire, qui est déjà déchirée, folle des illusions qui sont aussi sinon plus coupables qu'insouciantes.
Étiquette : gymnase aubanel
Saigon dans une mise en scène de Carolina Guiela Nguyen par la compagnie les Hommes approximatifs
Il ne reste plus dès lors qu'à ressentir ce qui se dit et suivre l'histoire dans ses péripéties et ses patientes espérances...