La douleur génère une inventivité littéraire non pas par choix, par désir de sublimer la souffrance, mais bien plutôt comme une obligation, une nécessité de créer des images nouvelles, une poétique pour dire, un peu, l’ampleur du ressenti.
La douleur génère une inventivité littéraire non pas par choix, par désir de sublimer la souffrance, mais bien plutôt comme une obligation, une nécessité de créer des images nouvelles, une poétique pour dire, un peu, l’ampleur du ressenti.